mercredi 15 juillet édité par Yohann Nous nous sommes retrouvés à la gare Montparnasse à 7h où tout le monde attendait impatiemment le départ. Pour arriver à destination nous avons dû changer de train ; nous nous sommes arrêtés dans une ville où Julien (notre chef qui ressemble à Jésus) nous a offert à boire. Suite à ce petit rafraîchissement, nous avons mangé et bon nombre d'entre nous ont été au mac do prendre un menu maxi best of.
Puis se fut le temps du deuxième trajet en train, qui nous
amena à Beaumont-sur-Sarthe. Une fois le trajet fini, Enfin nous arrivons ! C’est le commencement des installations où nous avons le plaisir de découvrir que notre tente est loin d'être complète (super !), aussi faisons nous de notre mieux pour nous installer (en mélangeant toutes les tentes, on arrive à faire quelque chose de correct). Le temps est splendide et nous nous mettons à table pour le dîner. Après le repas, Philippe, qui est le propriétaire du moulin et du terrain où nous campons, nous fait l'honneur de nous faire découvrir son vieux moulin restauré par les scouts et guides déjà venus en camp les étés précédents. Suite à quoi, nous nous sommes rassemblés autour du feu où nous recevons nos carnets de chants et... DE MAGNIFIQUES SWEATS FAITS POUR LES PIOS. Ensuite c'est une veillée libre, où tous restent autour du feu jusqu'à minuit.
Levé à 8h, nous sommes partis vers 9h en camionnette sur le
chantier pour ramasser des tuiles. Nous avons fait ça pendant
toute la journée, ensuite nous avons pris une douche bien méritée
(la première depuis le début du camp !), nous avons mangé et
la journée s'est terminée par une veille "musique".
Jour
5 Jour du Seigneur ! Aujourd'hui, c'est Dimanche. Une journée très calme, comme nous l'avions prévu : lever à 11h pour préparer un bon Brunch à l'américaine. Après ce bon repas, on a enchaîné en préparant les 4 dures journées qui nous attendaient dès le lendemain (car on partait en Explo/Caméra avec les vélos) : vérification des vélos, du matériel, des casques, etc... ; traçage de l'itinéraire vélo (aux alentours d'Alençon) ; approfondissement de la fiction. Le soir, après une petite veillée bien sympathique (tomate!), un temps Spirituel en commun avec les autres Caravanes du camp était organisé. Julien, notre chef, a été félicité pour ses nombreuses années passées au scoutisme (yeah). Je vous dit à Vendredi, le jour du prochain résumé, car durant notre explo nous ne pourront pas vous écrire. Jours 6, 7 et 8 Le CAP vélo ! mercredi 22 juillet édité par les pios
Nous progressions d’environs 20 kilomètres par jour. Nos voyages étaient ponctués d’arrêts dans les villes, ou les forêts pour aller à la rencontre des gens, se reposer, manger et filmer les scènes du film (un chef d’œuvre digne de Luc BESSON) que nous avions planifiées précédemment… Le terrain n’étant évidemment pas toujours « plats », il y a eu des grands moments d’épuisement (les côtes, le vent de face) comme des moments beaucoup plus agréables et reposants (les descentes). Une fois arrivés vers la fin de l’après-midi dans un village, nous nous sommes débrouillés pour trouver un habitat, de l’électricité et de l’eau. Nous avons fait du porte à porte dans le but de trouver une âme charitable qui puisse nous héberger pour la nuit. Le temps était loin d’être au beau fixe ; aussi, dûmes-nous revoir notre itinéraire à plusieurs reprises pour éviter de finir trempés. Nous sommes donc revenus mercredi, non sans essuyer une pluie peu forte, certes, mais régulière. Rares étaient les moments où une éclaircie apparaissait, laissant poindre un rayon de soleil ô combien vénéré. Mais les soucis étaient aussi de nature mécanique, le VTT vert ( « the tiger vélo » ) de Ju’ (Jésus !) était loin d’être robuste (à 90 euros…, l’intuition divine n’a pas eu lieu)… toujours est il que les vitesses passaient mal et qu’une pédale est partie en cours de voyage. Nos repas se composaient de chocolat froid et de viennoiseries, pour le petit déjeuner, de sandwichs et de tomates, pour le déjeuner, et de conserves, pour le dîner. Après ces quelques lignes introductives, voilà le récit de notre épopée dans la Sarthe.
Départ pour ce dernier jour d’explo, écourté par un orage imminent. En chemin, nous croisons les compas en tandem qui allaient, -ça alors- au moulin eux aussi. Nous les retrouvons un peu plus tard, victime d’un défaut du pédalier. Ayant une soudaine lueur d’esprit, Guillaume propose qu’elles jouent dans la « scène de la porte », nous n’avons pu jouer jusque là, à défaut d’acteurs. Nous arrivons dans la soirée au moulin et nous couchâmes aussi vite que possible. Jour 9 Jour de chantier et préparation TREK. jeudi 22 juillet édité par Valentin Après une longue nuit des plus réparatrices et un petit déjeuner, nous profitâmes d’une matinée repos pour tourner des scènes. Les chefs nous parlent d’une surprise … mais qu’est-ce ? On se retrouve de nouveau sur le chantier dans l’après-midi pour enlever des tuiles, porter des tuiles, curer des tuiles…et écouter de la musique. Les chefs annoncent enfin la fameuse surprise. De sa voix douce et délicate, celle qui n’annonce rien de bon, Julien nous annonce que nous partons en trek dès demain... Après une veillée préparation et de rapides explications, nous allons nous coucher pour pouvoir récupérer du chantier. Précisons que ce trek sera l’occasion de réfléchir à notre promesse et de faire la « traversée du désert ». Jours 10, 11 et 12 Le TREK ! dimanche 26 juillet édité par Valentin
Vendredi 24 : Départ pour le trek ! Les dernières mise au point se font, et après un au revoir des plus cérémoniaux, nous partons direction le super-U de Beaumont sur Sarthe, où les chefs nous remettent de quoi acheter notre subsistance pour le trek… les « petites courses » prirent près de deux heures mais furent faites, et après un déjeuner sur le parking, nous partons direction St jean d’Asse, le trajet fait 9 km, où nous arrivons sans encombre. Trouver un logement se révéla plus difficile que prévu, et après avoir essuyé une pluies des plus mémorables, nous trouvons l’hébergement chez une sexagénaire logeant à côté du stade, qui nous laisse la maison libre quelques heure. La joie se lit alors sur le visage des pios découvrant la télé, la douche, et les lits dans lesquels ils allaient dormir, quel bonheur de pouvoir enfin écouter les nouvelles du monde et de pouvoir prendre une douche chaude. Les chefs passent prendre connaissance des lieux, puis nous dînons et nous couchons.
Deuxième jour de trek, trajet de 15km. Nous trouvons alors notre rythme de croisière et arrivons sans difficulté à Vernie, puis à Segrie, où nous trouvons refuge dans la salle des fêtes.
Que d’émotions ! A peine les chefs sont ils arrivés que Thibault se fait enlever par trois hommes cagoulés !!! Les ravisseurs prennent la fuite après avoir jeté une carte déchirée, dont ils déposeront l’autre moitié ainsi qu’un étrange message plus tard. Marion est complètement affolée, mais l’air calme voir moqueur de Guillaume porte à penser que c’est une blague. Enfin, le sigle pionnier sur le message nous apporte la preuve que c’est le début d’un jeu très bien monté par les chefs. Après avoir déchiffré le message, en morse, nous partons d’un pas vif vers le lieu présumé où nous pouvons le retrouver. Effectivement, il était là, ficelé, bâillonné et décoré en homme-buisson. Les phrases de retrouvailles, preuve de l’émotion des pios ,fusent. « Attendez les gars, le détachez pas, faut que j’prenne une photo !! » « Ha ha !!T’es trop kill comme ça Thibault !! » Soulagés d’avoir retrouvé notre ami, nous repartons après avoir déchiffré un second message en morse nous disant de repartir sur notre ancien itinéraire. Thibault assure ne pas être au courant de la blague, Félix et Julien commencent à réfléchir sur des plans contre les chefs pour leur rendre la pareille, ce à quoi semble s’opposer Thibault. Les chefs passent devant nous, et nous apprenons que Thibault avait été mis au courant, et que nous avions été filmé par des compas… Après un débat semblable au précédent, nous reprenons la route sur laquelle nous découvrons le sac de Thibault avec du Champomy et des bonbons (récompense du jeu). La récompense avalée, nous repartons et arrivons vers 15h50 au camp. Au goûter, pommes d’amour et jus d’orange pour bien finir ce TREK. Finalement, on abandonne les idées contre les chefs, et on joue joyeusement dans la rivière du Moulin ! Jour 13 Jour de chantier.lundi 27 juillet édité par Valentin
Dessin
d'Hortense - repas avec tout le camp...
Après avoir fait une grasse matinée hier, le réveil était
dur aujourd'hui,car nous nous sommes levés pour 8h, suivi du
petit déjeuner habituel. Au programme, chantier toute la journée
; ramassage de pierres, rangement de tuiles et déblaiement d'un
escalier sous la terre. Le midi, les compagnons ont été invités
à manger avec nous, ainsi que Philippe. Nous avons mangé de délicieuses
pâtes à la carbonara, avec en entrée une salade. D'ailleurs,
nous avons réussi à faire un énorme feu pour faire les pâtes,
pour une fois, on a pas mangé avec trois quart-d'heure de
retard ! Ce soir, c'est une veillée surprise préparée par les
chefs, et ensuite, se déroulera la veillée-feu, chaque
personne de la troupe se levera pendant deux heures dans la nuit
pour s'occuper du feu.Jour 15 Jour de chantier. mercredi 29 juillet édité par Yohann
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